samedi 19 septembre 2009

Enfin sur place

Si, si, nous y sommes. Arrivee 21h35 heure locale.
Et pourtant, le destin (il faut bien que ce soit la faute de quelqu'un) s'est acharne sur nous.
Pour commencer, comme le raconte Jean chris, un gros probleme de date sur le billet pour rejoindre Londres. Et parce que c'etait trop facile, je n'avais pas pris l'adresse de l'hostel. En plus, nous avons trouve un guichet HSBC (pour les non inities, cela nous permet de retirer de l'argent sans payer de commission, si gratisssss), mais cetait trop beau pour que cela soit simple. Nous avons de nombreuses fois essayer de retirer plus de 100 reals (c'est la monnaie) mais impossible. Probleme parce que 100 reals ce n'est meme pas le prix de notre chambre. Nous sommes tombes sur un taxi tres sympa, Sony, qui a eu "pitie" des enfants. Il nous a donc expliquer que les guichets etaient bloques a 100 reals pour eviter les bracages. (pas de panique, c'est de la prevention). Nous avons retire l'argent, Sony connaissait un hostel bien et pas cher, et nous voila enfin en route, vers 23h30.
Mais l'hostel etait complet.
Deuxieme hostel, complet.
Troisieme hostel, Sony decide que c'est trop cher.
Les enfants, toujours calmes, tres fatigues, mais aucun autres signes, alors que d'autres adultes auraient deja jette l'eponge et passe en mode panique ou ennervement.
Quatrieme hostel, enfin de la place dans nos tarfis.
Super soulagement pour tout le monde, meme pour Sony. Nous allons enfin pouvoir dormir dans un bon lit.
Nous ouvrons la porte de la chambre et nous ne sommes meme pas effrayer par la vetuste du lieu. extremement exigu, vieux, fils electriques apparents evidement, meme dans la salle de bain. Non, nous sommes trops fatigues pour nous laisser impressionner. Tout le monde saute dans son lit et voila pour notre premiere nuit bresilienne. Extinction 1h00.
Reveil pour ma part, 6h00 du mat, par la conversation de deux bresiliens hauts en couleur et en gueulesm. C'est la langue qui me rappele dans mon demi-sommeil que je suis au Bresil.
Je ne resiste pas a l'envie de mettre un pied dehors.
Premier constat, je passe inapercu. Personne semble preter attention a moi. C'est une bonne nouvelle, je suis couleur locale.
Toute la famille ne tarde pas a se reveiller.
Petit dej avale et nous sommes partis a la recherche d'un hostel plus confortable. 15 minutes plutard, chose faite. Super hostel.
Nous nous rendons compte qu'il nous faut encaisser le coup donc nous resterons quatre nuits au total a Rio.
Nous avons en fin de journee fait notre premiere plage, c'est magnifique meme si nous n'etions pas a Copacabana ou Ipinea selon les puristes.
Hugo, Aloe et Isabelle se sont couches a 20h35.
Et on appelle ca des vacances !!!!!!!!!
La ville nous a avale dans toute sa grandeur mais sans pour autant nous stresser, nous bousculez. Elle est enorme mais on s'y repere bien. Les bresiliens sont serviables lorsqu'ils comprennent ce qu'on leur dit. Le portuguais ne ressemble pas vraiment a l'espagnol. La pauvrete est la mais nous ne sommes pas plus pas moins sollicites que les bresiliens.
Les enfants trouvent la ville propre et la plage tres propre.
Pour le moment, nous avons des difficultes pour savoir ce que nous mangeons et pour commander ce que nous voulons.
Je fais des fautes de frappe parce que le clavier n'est pas le meme.
Demain matin, visite du pain de sucre...
Allex bonne nuit.

2 commentaires:

  1. youhouhou!!!ca y'est enfin vous y êtes.
    je suis sincèrementet ravie pour vous et tu sais Manu comme je te le disais à l'aéroport, ce départ "hors norme" et ces péripéties jusqu'à votre 1er lit feront des souvenirs inoubliables!
    je vous embrasse tous les 4 et à très vite.
    Hasta luego!
    Emmanuelle

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  2. Coucou les chouchous,
    Bon, je vous jure que nous n'y sommes pour rien au sujet des billets...pas d'entourloupe du côté de Crossey, nous ne sommes pas du genre !!!
    Attendez encore un peu pour vous la péter...Manu vous a pas tout dit les p'tits poirots et M'dame Poirote.
    Le linge est lavé, les couettes rangées, les cartons envahissent notre piaule, on moins on ne risque pas de vous oublier !
    On vous embrasse très très fort.
    Anso, David et nos chouchous à nous.

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