mercredi 25 novembre 2009

Des enfants tres speciaux ¡¡¡¡


Merci

Le vouyage est loin d'etre fini et pourtant les rencontres sont deja nombreuses et j'ai envie de leurs rendre hommage ce soir, alors merci,

Merci,

- Merci a Sony, notre premiere rencontre a Rio de Janero, notre taxi-man qui nous a sorti d'un mauvais petit pas.
- Merci a Linette la canadienne et a Eddy le francais (nul en orthographe) qui donnent des cours de francais aux Cariocas de Rio.
- Merci a Celina et Benoit, avec qui nous avons partage une semaine formidable et avec qui j'ai pris ma cuite.
- Merci aux deux francais qui nous ont invite sur leur bateau a Paraty et que nous n'avons jamais trouve.
- Merci a Katia, Luidgi et "Mario" pour leur accueil fabuleux, la semaine passee et la partie de peche a la ligne.
- Merci a Kurt et Luse, les deux discrets hollandais de Ila Grande.
- Merci a Jille qui habite six mois sur un bateau et qui nous a decroche sur super plan sur Ila Grande.
- Merci a Patricia, la humble artiste de peintre de Paraty qui nous a invite dans sa galerie avec delicatesse.
- Merci a Rene pour la visite de son catamaran et d'avoir fait naviguer notre imaginaire dans la marina de Paraty.
- Merci a Bon Dia d'Iguazu d'avoir jouer a cache cache avec les enfants meme si parfois s'etait un peu a son inssus.
- Merci a Fransisco de nous avoir "escorter" pour traverser a deux reprises la frontiere entre le Bresil et l'Argentine, pour pouvoir echanger quelques mots en francais.
-Merci au Guide Indien de San Ignacio qui nous a fait un peu decouvrir les missions et les conditions passees et acutelles de son peuple.
- Merci a Rodolpho qui vaillamant nous a conduit sans encombre a Colonia Pelligrini et nous a fait vivre notre Dakar, bravant les fleaux.
- Merci a Maria de nous avoir si gentillement et discretement ouvert les portes de son auberge, rien que pour nous, a Colonia Pelligrini.
- Merci au super restaurateur de Colonia Pelligrini, declare le rio de la Pizza en Argentine.
- Merci a Gracelia, tenanciere de l'auberge de jeunesse de Mercedes qui nous a balise notre arrivee a Salta, facon "petits oignons".
- Merci au legionaire rencontrait a Salta sur un banc de la place de l'Independance, avec qui nous avons partage un moment de conversation.
- Merci a Gaston, le medecin venu nous secourir face a la maladie de Hugo a Sucre en Bolivie et nous faisant beneficier de sa bienveillance.
- Merci aux deux suisses allemand croises a Sucre puis a Tupiza, qui n'ont de cesse de nous evitez et de ne pas avior la descence de refuser nos sollicitations.
- Merci a Urbano et Theofila, le conducteur-guide et la cuisiniere de notre expedition du Salar, d'avoir veiller sur nous, tout en restant eux meme.
- Merci a Maria et Josephe, elle argentine et lui portoricain d'avoir partager avec anthousiasme cette experience du Salar.
- Merci a Christian (appele par Isa, Christian Troy) chirurgien de son etat et beau comme un acteur americain, medecin particulier d'Aloe dans le Salar.
- Merci a Alejandro proprietaire de l'agence avec laquelle nous avons fait le Salar, qui des le depart a ete bienveillant avec nous.
- Merci a Julien et Natacha, deux francais rencontres a Cordoba, avec qui nous avons partage un diner, avec la promesse de nous retrouver ailleurs si possible.
- Merci a Adriano qui a veille sur nous depuis notre arrivee a Balde jusqu a notre arrivee a Mendoza.
- Merci a Jim et Caroline, les deux canadiens rencontres a Mendoza, avec qui nous avons eu la chance de partager plusqu'un simple diner.
- Merci au proprietaire de l'hotel de Mendoza de sa bienveillance envers nous et aupres des enfants.
- Merci a Celia, Clementine et Dimitri, francais rencontres a Bariloche dans l'auberge pour ses moments partages et ses bons plans echanges.
- Merci aux deux randonneuses pendant l'ascension de La tete de l'indien, et qui ont fait un cours de botanique aux enfants.
- Merci aux deux supers voyageurs, elle francaise et lui espagnol, rencontres le temps du trajet en bus entre El Bolson et Puerto Madryn.
- Merci a Sixtine, jeune francaise rencontree pendant notre escursion vers les balienes, pour sa gentillesse, sa simplicite et sa maturite.

- Merci aux anonymes a qui nous avons croise ou coupe la route selon, comme la grande soeur et le petit frere de Mendoza mandiant surla terrasse du restaurant leurs nourritures, comme cette vieille femme essayant de vendre peniblement l'un de ses deux sandwiches, l'handicape de la poste prepose a la confection des paquets, ce tres jeune enfant bolivien vendant des bonbons a l'unite pour survivre, ces enfants boliviens cireurs de chaussures sur la place de Sucre.
- Merci a tout ceux qui nous ecrive depuis la France par mail (c'est tellement important pour nous).
- Merci a tout ceux qui laissent des commentaires sur le blog.
- Merci a mon frere, Jean Christophe, notre ange gardien. C'est lui qui prend en charge nos urgences.
- Merci a tout ceux qui pensent a nous.
- Merci a tout ceux qui ont croise notre route hier, aujourd'hui et demain.

MERCI A TOUS
L'aventure continue pour nous et nous esperons pour vous aussi et avec vous.















Notre journee...

La veille, nous sommes alles dans une agence (recommandee) pour reserver notre superbe escursion. Tout est clair et merveilleux et en plus c'est la bonne journee pour sortir en mer.
C'est pas fantastique ¡¡¡¡
Lever 6h30.
Le mini bus vient nous checher a l'hotel entre 7h30 et 8h00.
Nous sommes 13 touristes, dont une francaise Sixteen, tres sympatique, une baroudeuse a long court.
8h, c'est parti, MAIS SOUS LA PLUIE.
No problem: ca va se leve dans l'apres midi donc l'escursion en bateau est reportee a l'apres midi au lieu du matin. Nous terminerons donc par le meilleur.
Nous rentrons dans la Peninsule Valdes. C'est un payasage assez monotonme avec des feuillus bas, du sable et des caillous. Nous apercevons des lapins patagonins, des lamas, des autruches.
Premier arret sur une plage immense et magnifique pour y obeserver des elephants de mer se prelacant sur la plage. Ce sont tous des nouveaux nees. Les parents les nourrissent pendant 25 jours a cadences forcees puis les laissent sur la plage seuls. Ils ont un peu pres deux mois de reserve pour apprendre a nager tout seul. Ceux que vous voyez pesent deja entre 200 et 400 kg. Leurs parents ne viennent sur les cotes uniquement pour se reproduire. Ils passent le reste du temps en mer. Ils peuvent plonger a plus de 1000m, rester en apnee pendant deux heures. Ils n'ont pas d'oreille mais un reste de trompe rappelant leurs tres lointins ancetres. Nous sommes a environ 30 - 50 metres.
Nous repartons, toujours sous la pluie, vers notre second arret: les pinguoins de Magellan (grand navigateur devant l'eternel). Toute une colonie a deux metres de nous. Ils sont bien plus gros qu'attendu, faisant 70 a 80 cm de haut. Eux aussi font bronzette... Pas tres actif ....
Nous nous arretons pour dejeuner dans une cafetria perdu au milieu de ce desert dans laquelle il nous faut nous cacher pour pic niquer, parce qu'interdit, buisiness is buismness...
Nous profitons pour retourner voir une nouvelle colonie d'elephant de mer. Toujours impressionnant de voir de si pres de tels animaux, dans leur espace naturel.
Nous repartons plein d'anthousiasme puisque nous allons voir les baleines.
Il pleut toujours... et de plus en plus...
Nous sommes pres pour embarquer, apres avoir enfiler notre arnachement.
Toujours la pluie...
Mais apres a peine dix minutes de bateau, voila notre premiere baleine avec son baleineau.
Le temps n'est pas avec nous, mais ca reste magique et elles se deplacent avec une telle grace.
Nous avons parfois l'impression qu'elles levent la tete pour nous regarder puis replonge, s'eloignent, se rapprochent... Plus d'une heure de balaie.
Le mauvais temps nous contraint a stoper l'escursion.
Nous sommes tous trempes jusqu aux os...
Cette journee ne restera pas malheureusement comme un souvenir formidable pour nous parce que gache en parti par la pluie, mais la rencontre avec ses animaux n'en reste pas moins extraordinaire et inoubliable.

En voila des autres (des baleines)

Y sont pas beaux ??????








Pour comprendre cette image, il faut vous rappeler le dessin anime "Nemo". Le papa de Nemo cherche son fils avec une copine Dory. A un moment, ils sont tous les deux au milieu de l'ocean et ils apercoivent une baleine. Dory se prend a appeler la baleine en parlant baleine... Donc les trois sur la photo sont en train de parler baleine... Si, si c'est vrai...

Elles sont la ¡¡¡¡¡¡¡¡¡

Lui, contrairement aux apparences,
c'est le petit ¡¡¡

Et voila la maman,
toujours un oeil a guetter le danger¡¡¡¡















mardi 24 novembre 2009

Aujourd'hui un jour special pour les Poirot

Nous allons voir
les Baleines
les Baleines a bosses
les vraies
avec leurs bebes
On va voir les baleines, nanana nanereeeeeeeee
C'est dingue, on va voir les baleines ¡¡¡¡¡¡¡¡¡¡¡
(et vous, vous fetes quoi aujourd'hui ?)

lundi 23 novembre 2009

"Muere lentamente quien no viaja"

Voilà un poème de Pablo Neruda, que j'écris dans un message spécialement pour toi Manu, car il m'est apparu en lisant ton dernier message...surement parce que tu vis ce voyage avec toute ton âme et ta sensibilité.




Muere lentamente quien no viaja,
quien no lee,
quien no oye música,
quien no encuentra gracia en sí mismo.

Muere lentamente
quien destruye su amor própio,
quien no se deja ayudar.

Muere lentamente
quien se transforma en esclavo del hábito
repitiendo todos los días los mismos trayectos,
quien no cambia de marca,
no se atreve a cambiar el color de su vestimenta
o bien no conversa con quien no conoce.

Muere lentamente
quien evita una pasión y su remolino de emociones,
justamente éstas que regresan el brillo a los ojos
y restauran los corazones destrozados.

Muere lentamente
quien no gira el volante cuando está infeliz con
su trabajo, o su amor,
quien no arriesga lo cierto ni lo incierto para ir
atrás de un sueño
quien no se permite, ni siquiera una vez en su vida,
huir de los consejos sensatos...

Vive hoy !
Arriesga hoy !
Hazlo hoy !
No te dejes morir lentamente !
No te impidas ser feliz!

Pablo NERUDA poète Chilien,

Prix Nobel de Littérature1971.




Il meurt lentement
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n’écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver
grâce à ses yeux.

Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.

Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l'habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu

Il meurt lentement
celui qui évite la passion
et son tourbillon d'émotions
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les cœurs blessés

Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu'il est malheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n'a fui les conseils sensés.

Vis maintenant!
Risque-toi aujourd'hui!


Agis tout de suite!

Ne te laisse pas mourir lentement
Ne te prive pas d'être heureux !



vendredi 20 novembre 2009

Le temps qui passe

Nous voila dans le bus qui nous conduit depuis Mendosa a Bariloche. Il fait deja nuit, tout le monde dort.
Plusieurs millions d'etoiles nous accompagnent, eclairant a peine un paysage typique de l'argentine, la pampa a perte de vue, plate, tres plate.
Je regarde tranquillement ce paysage defilie, disinguant au travers ma vitre cette mulitude d'etoiles et je laisse mon esprit vagabonder.
Ce voyage, tant de fois reve, tant de fois reporter, oublier, enterrer, reinventer, resusiter... voila, j'y suis, je le vis, je le sens, il vibre en moi...
Quel est ce fisson etrange, le frisson de l'aventure, d'aller decouvrir l'inconnu, ne pas savoir ce qu'il y a apres et rester ouvert pour se laisser envahir par cette etrange sentiment de la deouverte, du renouveau. Se laisser prendre par la beaute d'un paysage, se laisser surprendre...
Mais le plus beau dans le voyage, ce sont les rencontres...
Rencontrer les autres, rencontrer les hommes qui peuplent cette Terre, c'est mon plaisir.
Demain, je ne sais qui croisera ma route ou de qui je couperais la route.
Avec qui vais je partager de cet instant unique, suspendu que se soit pour quelques minutes ou pour plusieurs jours. Temps suspendu dans le temps et dans l'espace parce que tellement inprobable, imprevu. Le hasard de la rencontre... La rencontre de trajectoires que tellement de choses peuvent separer et pourtant, a un moment, il est possible que celles ci se rejoignent.
Je suis riche de toutes ces rencontres.
Et demain, je serai encore plus riche.
Je suis riche d'humanite.
Je parcours le monde non pas pour accumuler des photos de paysages extraordinaires et pour pouvoir dire "j'y etais", mais bien, pour aller a la rencontre des hommes, a la rencontre de l'humanite, peut etre a la manier d'un antropologue, sauf que je fais parti integrante de l'experience. Decouvrir leurs modes de vie, approcher leur quotidiens, devinier leurs habitudes, parler leurs langues.
D'ailleurs, etrangement, je fais tres peu de photos d'habitants. Et pourtant, beaucoup m'ont marque, mais j'ai comme une certaine pudeur.
Isabelle et moi, nous partageons une particularite: lorsque nous sommes dans une ville, nous ne faisons pas ou tres peu de tourisme culturel. Par contre, nous passons beaucoup de temps sur les places, dans les parcs publics, sur les terrasses. En effet, nous partageons cette envie d'etre parmi eux, au milieu d'eux, d'observer tout ces gens vivrent et parfois, d'etre invite a participer. Le bonheur d'etre la et de partager...
tout simplement des moments de vie.
C'est aussi ca le voyage ... (pour moi ¡ )

lundi 16 novembre 2009

Mendoza

Mendoza est la Mecque des vins argentins.

C'est une ville adossee (mais non pas a la colline) aux Andes dans une bande desertique. Il n'y pleut que rarement. Mais elle profite de la fonte des neiges et grace a un system d'hyrigation sous terrain, elle transforme son desert en un jardin fertil et propice a la culture du vin.
C'est une ville qui a tous les services d'une ville mais sans tous les desagrements.
On a l'impression qu'il y a peu de voitures et meme parfois peu de monde.
Elle est riche et elle le montre. Elle est soignee, propre. C'est un peu un gros village pour riches.

Cette region fait pallir tous les viticulteurs du monde entier, a cause de son climat desertique et de son altitude:
- pas de pluie donc aucun risque que les raisins ne s'abiment
- ecart de temperature entre le jour et la nuit parfait pour la maturation du raisin: fraicheur de la nuit garantie un bon niveau d'acidite, en revanche la forte chaleur le jour favorise la production de sucre et stimule l'elaboration d'une belle peau epaisse.
- le peu d'humidite permet d'eviter la proliferation de champignons et autres insectes nuisibles.

On dit qu'il suffit de planter des pieds de vignes et trois ans plus tard, binguo¡¡¡

BALDE ("beach"...)

Quant on vit tout seul, c'est tout seul.
Une grande piscine comme ca que pour nous ¡¡¡¡

Oh, pardon, nous avons oublie qu'en France c'est deja presque l'hiver... vraiment nous sommes confus, promis on le fera plus...







Quant on vous dit que c'est tout petit ¡¡¡






Balde et ses eaux chaudes thermales

Comme vous avez pu le constater avant, l'organisation de ce periple est performante et le guide sait denicher "les bons plans".
Et oui, encore une fois, il a fait parler son talent et a servi sur un plateau tout un complexe entier rien que pour nous. Un hotel thermal avec des sources chaudes.

Depart depuis Cordoba pour le tout petit village de Balde.
Quant on dit petit, c'est petit. Une seule chose a faire ici, du thermalisme.

Nous arrivons vers 18h dans ce complex avec bungalows, une piscine couverte et une decouverte remplie par l'eau thermale (environ 30 dergre).

Notre bungalow est relativement petit puisque l'essentiel de l'espace est occupe par une piscine miniature, toujours pour profiter des eaux. En fait, c'est une enorme baignoire profonde de pres d'un metre. Le lendemain matin, nous ne resiterons pas et nous prendrons un bain collectif des le leve.
Pour ce soir d'arrivee, nous profitons de la piscine couverte, rien que pour nous.
TOUT SEUL...

Le lendemain matin, nous decouvrons deux autres touristes, mais nous avons toujours le jardin pour nous. Les enfants y feront ecole dans un cadre des plus enchanteur. Decidement, ils sont obliges de bien travailler dans des conditions pareilles. Pas de bol, meme pas de bonnes escuses pour ne rien faire.

Leur "quietude" sera parfois perturbe par un cheval trouvant l'herbe plus verte chez nous (c'est bien connu, c'est toujours plus vert chez le voisin) et d'autres fois par un couple de Pic vert, que je ne parviendrais pas a prendre en photo. (remarquez, nous on s'en mauque parce qu'o les a vu en vrai ¡¡¡).

Nous quitterons cet endrois avec regret mais nous profitons de l'opportunite que l'un des employe de l'hotel nous offre pour rejoindre Mendoza: en effet, il nous propose rien de plus que d'arreter le bus au milieu de l'autoroute, pour lui et pour nous. Le trajet normal, nous oblige a rebrousser chemin et donc a perdre un peu de temps.

Nous voila parti le lendemain a attendre un bus sous un pont sur l'autoroute. C'est un peu dingue... Mais le bus est bien arrive comme prevu et nous avons ete pris en charge. Super...

Pour Isabelle, c'etait un peu un avant gout de son cadeau d'anniversaire. En effet, avant de partir lors du Super Genial Pic nic a Grenoble, elle a eu un "ticket" pour une seance de SPA durant le voyage.

Alors, on se resume. Si vous voulez faire du thermalisme dans un cadre enchanteur, sans la foule du samedi soir, a des tarfis surper competitifs, il faut aller a Balde. C'est vrai, c'est pas facile a trouver, mais on a rien sans rien...








dimanche 8 novembre 2009

La Cumbrecita

Nous sommes partis ce week-end explorer les alentours de Cordoba et nous avons decouvert un magnifique petit village "La Cumbrecita".

Au milieu d'un petit massif montagneux, un charmant petit village avec des chalets en bois massif, avec un petit air tyrolliens (les habitants ont des airs germaniques).

Nous y avons degotte un splendide chalet perdu au milieu des pins. Nous avons joue aux Robinsons. Un petit tour a la petite superette du coin et nous voila en autorsie.

Programme: glande, glande, petite ballade dans les montanges, preparation d'infusions maison avec les ingredients trouves dans le jardin...
Un week-end avec un petit d'accent de France (en effet, ce paysage nous a tous fait pense a nos montagnes francaises) mais surtout, il nous a livre un autre visage de l'Argentine bien agreable.
Nous y avons meme deguste de succulents chocolats ce qui est exploit dans cette partie du monde ( au fait Emmanuelle, nous avons toutes les peines du monde a trouver du Nutella, alors si tu voyages un jour ici, fais tes reserves).
En effet, ici c'est le pays de la Creme de lait, pas terrible...


jeudi 5 novembre 2009



Eh oui, Luky Luke etait avec nous ¡¡¡¡¡







Il est pas beau sur son
lac de sel ¡¡¡¡









Qu'est ce qu'elle est belle sur son lac et quand elle sourit comme ca ¡¡¡¡¡¡

Supers heros avec supers pouvoirs






Regarder moi cette belle brochette, ils ont par l'air trop c..., non vraiment, ils ont de la chance ¡¡¡






















Chez Twix land...
(meme dans le Salar, on trouve des Twix, Jean Chris, tu peux y aller)

Experience "dangereuse"


Chez "Gorgio" le vieux coiffeur bolivien...

On peut admirer l'esthetisme du salon ¡¡¡¡¡

Pour les plus observateurs, chercher bien il y a un calendrier qui vaut le detour (pour ceux qui trouvent, je vous envoie la photo en grand par mail).

Coupe avec des ciseaux de cuisine (c'est vrai) et desinfection des tondeuses et de ma nuque avec de l'alcool a barbecue. Ca decoiffe... (c'est le cas de le dire)





mercredi 4 novembre 2009







Au dessus d'un volcan