jeudi 17 septembre 2009

Alors ça pour planer, ça plane; sévère même !

Je ne sais pas ce que les Poirot consomment, mais une chose est certaine, c'est de la bonne. Avant de changer de jardin pour ceux des contrées sud américaines, il semble en effet qu'ils se soient égarés dans quelques pépinières de plantations hallucinogènes (du côté de Saint Etienne de Crossey ?), qui font prendre les 6 pour des 7 et exposent leurs addict à rester clouer sur le plancher des vâches. Normalement c'est pas le but, mais une erreur dans le mode d'emploi est si vite arrivée qu'en moins de deux, vous troquez Capacobana et ses créatures de rêves pour les couloirs de Saint Exupéry (et 9 mois dans cette auguste batisse, c'est long).
Explication.
20h, la famille au complet se présente au guichet d'enregistrement et présente à l'hôtesse passeports et billets électroniques. L'affable préposée consulte alors le précieux sésame et nullement perturbée annonce : "nous sommes le 16 septembre et votre billet est pour le 17, vous ne pouvez donc embraquer"... Flottement, consternation en bon français; "bordel de M", dans le texte.
Solution.
20h15, Is tente d'obtenir un échange de billet et malgré la force de persusasion (de frappe ?) que nous lui connaissons, la compagnie se révèle intraîtable (on est pas lowcost pour rien). Seule solution, tenter une demande de remboursement à l'issue courrue d'avance et surtout racheter un billet au prix fort (pas le prix web). Ce qui fût fait. Et re"bordel de M" dans le texte.
Ils ont embarqué et c'est l'essentiel !
JXtophe

1 commentaire:

  1. La narration est très juste, je rajouterais juste que le stress était à son comble pendant quelques secondes,ce qui stimule le poirot...Et pour un voyage de 9 mois il en faut!

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